Ah! Voici l'item qu'il me tardait de présenter: "Divers"
Pour vous expliquer, je vais vous exposer une petite métaphore.
Voila, vous avez une commode. Trois tiroirs. Dans le premier, vous mettez les sous vêtements. Dans le deuxième, vous rangez les chaussettes, les pyjamas et les mouchoirs. Si! quand les chaussettes sont propres, on peut les ranger avec les mouchoirs. Et puis dans le troisième tout le reste. De chaque élément, il n'y a pas assez pour remplir un tiroir. C'est donc un fourre tout: ceintures, gants, foulards et écharpes, bonnets, bandana et serre tête. Bref, c'est le foutoir. C'est cela que, dans mon site j'appelle les divers.
Là, il y a quelques textes qui ne sont ni des essais, ni de la poésie, ni du théâtre. Il n'y a que des inclassables. Ce sont les divers.
2014
Edition Mélibée
392 pages
Pour Jean Durier-Le Roux, lors de son activité professionnelle, le plus grand moment de plaisir jubilatoire quotidien, c'était la cantine. Là, avec une demi-douzaine de galapiats de son espèce, il refaisait le monde. Et puis, la retraite est arrivée : plus de débats dialectiques passionnés. Alors, en toute humilité, il a décidé d'écrire ce qu'il aurait pu défendre véhémentement. Un nouveau problème s'est présenté. Jean Durier-Le Roux s'est souvenu du devoir de philosophie inhérent à la classe de terminale : « Peut-on penser par soi-même ». Il essaie. Ça, pour essayer, il essaie. Même, parfois, il a l'impression d'y arriver... Et là, son narcissisme s'en trouve revalorisé. De quoi se préoccupe-t-il ? A priori de n'importe quoi. Toutefois, il faut bien l'avouer, les sujets liés à la situation sociopolitique reviennent de façon récurrente. Est-ce à regretter ? Aristote, dans le premier chapitre de l'Éthique à Nicomaque, montre que le plus haut niveau de réflexion philosophique que l'on puisse avoir est celui qui concerne le politique. Alors, si c'est Aristote qui le dit...